Préparer votre retraite
Retraite par répartition

Retraite par capitalisation

Comment bien anticiper sa retraite ?
Nos conseillers analysent votre situation personnelle et la projettent à l’âge prévisionnel de la retraite, ce qui nécessite :
- Tout d’abord, d’estimer l’ensemble de vos revenus et de vos charges à l’âge de la retraite à partir :
- d’une reconstitution de carrière (droits à la retraite)
- des autres sources de revenus prévisionnelles (notamment les revenus du patrimoine)
- de la détermination de votre revenu net d’impôt, après déduction de l’impôt sur le revenu et éventuellement de l’ISF.
- Ensuite, de définir le niveau de vie souhaité net d’impôt
- Enfin, de concevoir une stratégie patrimoniale en tenant compte des conséquences éventuelles de la réversion et des risques liés à la dépendance. L’ensemble des aspects d’ordre social, civil, fiscal, financier sont pris en compte
Une fois cette étude réalisée et en fonction de vos besoins, nous vous proposons la solution la mieux adaptée parmi les suivantes :
- Contrat d’assurance-vie
- PER
- Tontine
- Investissement immobilier
Les actualités retraite :
L'option pour le prélèvement de 7,5 % applicable aux prestations de retraite servies sous forme de capital peut être remise en cause si le contribuable échelonne les prestations.
Pour bénéficier de ce taux à 7,5 %, les conditions suivantes doivent être remplies : les cotisations versées durant la phase de constitution des droits, doivent avoir été déductibles du revenu imposable du bénéficiaire ou afférentes à un revenu exonéré dans l’Etat auquel était attribué le droit d’imposer celui-ci ; la prestation de retraite en capital ne doit pas être fractionnée.
Lorsqu’un contribuable dispose d’un contrat suisse, dont une partie du capital est libérée au moment du départ de Suisse (cas de déblocage anticipé) et l’autre un an plus tard pour le même motif, le prélèvement libératoire de 7,5 % ne peut donc valablement s’appliquer en raison du principe de non-fractionnement. En l’espèce, le choix du fractionnement avait été fait par le contribuable afin de ne pas remettre en cause l’avantage fiscal dont il avait bénéficié lors du versement en Suisse. La Cour administrative d’appel de Lyon a considéré que le fractionnement ne résultait pas d’une cause extérieure à sa volonté.
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